A l’heure où les nouvelles consoles nous font rêver, Electronic-Arts nous a offert une nouvelle chance de tester sur celles-ci les deux titres à venir les plus spectaculaires de son catalogue de fin d’année. Ca pète dans tous les sens, on en prend pleins les yeux et le mixage sonore est de qualité. Et ici, je ne parle pas que de Battlefield 4, je parle également de Need For Speed Rivals.
Commençons par parler de Battlefield 4. Dice n’a plus rien à prouver concernant sa licence FPS. Le jeu est excellent en multijoueur comme en solo (NDRC: quand on pense à la blague pour le solo de Battlefield 3, ce n’était pas compliqué de faire mieux). C’est un fait établit depuis Battlefield 3, ce jeu se joue surtout à plusieurs. Et justement, nous étions là pour tâter le mode multijoueur en LAN sur Xbox ONE.
Les parties se sont jouées à huit contre huit, et il faut bien avouer que c’est carrément le pied. Nous n’irons pas jusqu’à vous mentir en essayant de vous faire croire que l’on a remarqué des différences par rapport à Battlefield 3. Bien évidemment, c’est carrément plus beau et le moteur Frosbite 3 fait bien le boulot ! Et niveau sonore, je ne pense pas qu’on puisse faire mieux que Battlefield 3, à moins d’être un expert ingénieur en son et de déceler tout petits détails, car l’ambiance et les effets sont très riches. Mais au moment où cet article est rédigé, vous avez déjà pour la plupart posé vos petits yeux tout excité sur la bêta de Battlefield 4, et vous avez donc surement une bonne idée de ce que cela peut donner.
La carte sur laquelle nous avons joué n’était pas si grande que ça, la destruction de celle-ci était possible, mais impossible de confirme si le fameux « LEVOLUTION » était possible sur cette carte. Ce qui nous a, au final, un peu refroidi, il faut l’avouer.
Du côté des courses poursuites sur quatre roues, l’avis qui va suivre est celui d’une personne fâchée avec la série des Need For Speed depuis que le tunning n’y est plus vraiment présent. Par tunning, il faut entendre: bas de caisses, pare-choc, ailerons, jantes… et j’en passe. En clair depuis l’épisode Need For Speed Undergroud 2.
Hélas, Need For Speed Rivals n’a pas assouvi la soif de « jackie » de notre « journaliste » d’un jour. Alors oui, il est possible de changer ce qu’il y a d’écrit sur votre plaque d’immatriculation (NDR: « 455M4N » « B00B5″… c’est mon petit coté « K3v1n »), mais il faudra surtout se contenter de modifier les caractéristiques de son véhicule par le biais des packs d’améliorations, la couleur, vyniles, et c’est à peu près tout. Toujours pas de pièces de carrosseries cools pour faire son Kéké à la plage ! Pour cela, il faudra regarder MTV et « Pimp my ride ! ».
Passé ce petit coup de gueule, on ne peut nier que Need For Speed Rivals est impressionnant ! On fonce à toute vitesse dans un décor qui change au file des kilomètres, avec de la neige au désert en passant par les canyons. En revanche, nous n’avons pas pris le temps de s’essayer au multijoueur, juste l’envie de parcourir la route à toute vitesse en se fracassant contre les véhicules croisés ici et là.
Nous pourrons conclure de la qualité de ces deux jeux de la façon suivante et même en un mot: « SPECTACULAIRES ». EA Games a carrément enclenché le pas et a exploité de manière assez impressionnante les capacités des nouvelles consoles de salons, du moins la Xbox One, et on touche ici à des jeux qui tourneraient aujourd’hui sur un PC autour des 1000 €. Deux titres qui sont donc à surveiller de très près lors des sorties des consoles Playstation 4 et Xbox One.
